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Ali Bongo a présidé le 1er conseil supérieur de la magistrature de son second septennat
Publié le mardi 4 octobre 2016  |  Gabon Actu
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© Présidence par DR
Le Chef de l`Etat devant le parlement
Mardi 28 juin 2016. Libreville. Le Président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a dressé mardi le bilan de son action à la tête du pays, sept ans après son accession à la magistrature suprême.
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Libreville – Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, qui venait d’âtre réinvesti chef de l’Etat après sa réélection pour sept ans, a présidé lundi à Libreville le premier Conseil supérieur de la magistrature (CSM) de son nouveau mandat.

Le CSM est une audience solennelle de rentrée des cours et tribunaux du Gabon. L’audience s’est tenue dans la salle d’apparat du Palais de justice de Libreville.

Le nouveau premier ministre, Emmanuel Issoze-Ngondet ainsi que plusieurs membres du gouvernement parmi lesquels Alexis Boutamba, premier vice-président du CSM, nommé dimanche au poste de ministre de la Justice et Garde des sceaux étaient également présents à cette rencontre.

Organisée tous les ans au début du mois d’octobre, cette cérémonie marque la reprise des activités de la justice, offrant l’opportunité à ses acteurs de dresser le bilan de l’année écoulée mais aussi de définir les principales lignes directrices pour l’année avenir.

Dans son discours d’ouverture, la représentante du ministère public, Henriette Mengue, commissaire général à la loi, a ainsi attiré l’attention du gouvernement et du Parlement sur la question de l’applicabilité de la loi. Problématique à laquelle le Conseil d’Etat fait régulièrement face lorsque, faute d’adoption par le gouvernement de textes complémentaires, les citoyens le saisissent pour rentrer dans leur bon droit.

Le premier Président du Conseil d’Etat, Martin Akéndengué, a, quant à lui, rendu un hommage appuyé au corps judiciaire après avoir rappelé le contexte de violences post-électorales qui a intensifié le travail des juges des tribunaux correctionnels.

Insistant sur « le devoir de réserve, de neutralité et d’impartialité » des juges dans un état de droit que le Chef de l’Etat « s’est engagé à préserver et renforcer », Martin Akendengue a tenu à souligner la disponibilité de l’institution judiciaire à contribuer à atteindre les objectifs assignés à la justice publique « pour le bonheur de tout le peuple gabonais au nom duquel la justice est rendue».

Christian Balade
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