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Présidentielle 2016 : Jean Marc Ayrault invite les acteurs politiques à la réconciliation
Publié le lundi 3 octobre 2016  |  Agence Gabonaise de Presse
Jean-Marc
© Autre presse par DR
Jean-Marc Ayrault, ministre français des Affaires étrangères et du Développement international
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Interviewé jeudi par la chaîne de radio française « Europe 1 » sur le déroulement de l’élection présidentielle au Gabon, le ministre français des Affaires étrangères, Jean Marc Ayrault a reconnu la légitimité d’Ali Bongo Ondimba, à la suite du verdict de la Cour constitutionnelle, avant d’appeler à la réconciliation des acteurs politiques.

Répondant à la question du déroulement de l’élection au Gabon, Jean Marc Ayrault a reconnu l’élection du président Ali Bongo Ondimba proclamée par la Cour constitutionnelle, après le contentieux électoral.

« Il y a la Cour constitutionnelle qui s’est prononcée. Il y a eu des recours. C’est ce que nous avons recommandé. Il reste toujours un doute. Maintenant, il faut une solution politique de réconciliation. C’est ce que la France redit et répètera encore », a-t- il dit.

Le chef de la diplomatie française a également reconnu, au nom de la France, la légitimité du président de la République réélu, Ali Bongo Ondimba, vu la présence de l’ambassadeur de française, Dominique Rénaux, à la cérémonie de prestation de serment au palais rénovation mardi dernier.

« Il est investi. Il est installé. La France était représentée par son ambassadeur. Vous avez vu qu’il y a une certaine retenue après cette élection et en même temps, ce que nous voulons, ce n’est pas la déstabilisation du Gabon. Et pour ça, il y a besoin que l’Union africaine qui a commencé à le faire joue son rôle pour encourager Bongo à chercher une politique de rassemblement parce que je pense que c’est l’intérêt du Gabon, c’est aussi l’intérêt de toute l’Afrique », a-t-il dit.

Rappelons qu’au lendemain des violences post-électorales, la France avait souhaité une sortie de crise par les voies légales et constitutionnelles. Toutefois, le gouvernement gabonais avait marqué son étonnement suite aux injonctions données à la Cour constitutionnelle par le gouvernement français qui demandait à la Haute juridiction la transparence dans le traitement du contentieux électoral, alors qu’il a été toujours marqué par la vérification des procès verbaux, bureau de vote par bureau de vote.

SN/FSS
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