Présidentielle 2016 : Ali Bongo en approche de proximité #aLibreville

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Présidentielle 2016 : Ali Bongo en approche de proximité

Publié le vendredi 26 aout 2016 | L'Union

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Ali Bongo Ondimba à la rencontre des populations de Ndjolé, Fougamou et Lambaréné
Dimanche 14 août 2016. Lambaréné. Ali Bongo Ondimba, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG) et des partis alliés, a entamé son deuxième jour de campagne par une étape dans la petite ville de Ndjolé, au cœur du Moyen-Ogooué, avant de gagner Fougamou dans la Ngounié puis de rallier la capitale provinciale de Lambaréné où le candidat a été accueilli, avec ferveur, par plus 10.000 sympathisants.

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Jean Ping : "Ali Bongo est incapable de diriger le Gabon"

- 26/8/2016

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Election présidentielle 2016

Hier, le président sortant, Ali Bongo Ondimba, est passé à une autre phase de campagne auprès des habitants de Libreville et d'Akanda notamment. Il s'est rendu au rond-point d'Awendje, au carrefour Léon-Mba, au Jardin Botanique, et au Collège d'enseignement secondaire (CES) d'Avorbam dans la commune d'Akanda.

Au pas de course, il est allé délivré son message aux résidents d'Awendje et ses alentours, qui ont pris d'assaut le carrefour de ce quartier du quatrième arrondissement de la capitale gabonaise. L'égalité des chances, la poursuite des efforts de développement du pays, à travers la construction des routes, des hôpitaux et d'autres infrastructures, ainsi que l'extension de la prise en charge de la Caisse d'assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) étaient au menu. La formation et l'éducation des jeunes, la prise en compte accrue des femmes dans la croissance économique n'étaient pas en reste.

Aussi bien au Jardin Botanique qu'à Akanda, le discours a été le même. Sans rater l'occasion d’asséner quelques coups à des adversaires au projet politique inexistant. Jean Ping, Casimir Oye Mba et Guy Nzouba dont l'union pour une candidature unique est, selon lui, l'illustration d'une volonté manifeste de préserver les privilèges dans un pays qui en a que trop souffert. Tout en considérant que « Jean Ping est un risque pour le Gabon ».

Jonas OSSOMBEY

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