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Tournée républicaine - Woleu-Ntem

Publié le samedi 23 juillet 2016 | Présidence

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Tournée républicaine - Woleu-Ntem
Vendredi 22 juillet 2016. Oyem. Le président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba en tournée républicaine dans le Woleu-Ntem.

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Tournée présidentielle : Arrivée du président sur les lieux de construction du stade

- 22/7/2016

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Activités du Président de la République

Oyem - Le président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a appelé vendredi les Woleu-Ntemois et tous les Gabonais à l’unité.

« C’est l’unité qui a permis à tous les autres pays de se développer ! C’est de cette unité dont nous avons plus que jamais besoin pour accélérer notre développement, apporter le changement ici et partout dans notre pays pour aller plus loin ensemble. »

Dans un discours prononcé à Mitzic, chef-lieu du département de l’Okano que le président de la République a rallié en milieu d’après-midi, Ali Bongo Ondimba a assuré que l’Égalité des chances était pour tous les Gabonais. Dans ce sens, il a affirmé sa volonté de lutter sans relâche contre l’ancien système des privilèges indus.

Depuis Mitzic, Ali Bongo Ondimba a aussi appelé de ses vœux à une plus grande solidarité au bénéfice de toutes les filles et tous les fils de la Nation, au deuxième jour de la tournée républicaine qu’il conduit dans la région nord du Gabon.

« Unis, nous sommes plus forts. J’ai besoin du soutien de tous les Gabonais afin de poursuivre les changements que nous avons entamés et d’améliorer le quotidien de tous les Gabonais grâce à mon Programme pour l’Égalité des Chances », a déclaré le président de la République.

Plus tard dans la journée, Ali Bongo Ondimba a pu constater que l’Égalité des chances est déjà en marche dans la capitale provinciale, Oyem, avec l’ouverture d’un nouveau centre d’action sociale et sanitaire par la Caisse nationale de la solidarité sociale (CNSS) que le chef de l’Etat a inauguré. Un centre de santé proche des populations qui permet de faciliter l’accès des Oyemois aux soins de santé et améliore également la protection sociale des personnes fragiles. « La solidarité doit être au cœur de notre projet de société. Une société solidaire, c’est une nation forte. », a affirmé le Chef de l’Etat.

Même constat de changement à Sougoudzap Ville, village situé sur l’axe Oyem-Bitam, où le président de la République est parti à la rencontre des 209 Gabonaises et Gabonais qui travaillent, ensemble, avec le maître d’ouvrage chinois Shanghai Construction Général (SCG) à la construction d’un stade de 20.400 places. Ce stade, qui répond aux normes internationales imposées par la FIFA, accueillera des matches de la 31ème Coupe d’Afrique des Nations (CAN) prévue au Gabon, en janvier 2017. Il sera livré comme prévu au mois de novembre, grâce à l’implication de celles et ceux qui travaillent tous les jours à faire avancer le chantier et dont le président de la République a pu être témoin, ce vendredi.

Soucieux d’être au plus proche des populations de la province, Ali Bongo Ondimba a multiplié ce vendredi les rencontres avec les Woleu-Ntemois : à Medouneu, chef-lieu du Haut-Komo, à Sam, petite bourgade située à une cinquantaine de kilomètres de Mitzic où le Chef de l’Etat s’est imprégné de la culture Fang dans la liesse populaire. « Quand je viens dans le Woleu-Ntem, on me dit que je serai mal accueilli ! Chaque fois, ce n’est pas le cas. Votre présence nombreuse et votre soutien pour le changement prouvent cela. Je suis le résident de tous les Gabonais. Et ce que je fais, c’est pour tous et pour l’unité du pays. Pour continuer, nous devons renforcer cette unité afin d’avoir le changement que nous souhaitons tous ! », a lancé le président de la République.

Ferme et déterminé jusqu’au bout, Ali Bongo Ondimba a terminé son discours de Mitzic en combattant l’esprit de division et les différents appels à la violence. « La paix est un bien précieux. Pour nous et pour nos enfants. Ceux qui veulent la division, ce ne sont pas leurs enfants qu’ils envoient pour affronter les policiers, ce sont deux des autres ! » De cette journée qui s’est achevée dans les chants traditionnels d’Oyem, c’est bien l’unité qui rester le maître mot. L’Union, même. Premier pilier de la devise républicaine.

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