Lutte contre la vie chere: Ali Bongo a Mont-Bouët #aLibreville

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Lutte contre la vie chere: Ali Bongo a Mont-Bouët

Publié le jeudi 23 juin 2016 | Gabon Economie

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Le Président Ali Bongo Ondimba visite le marché Mont-Bouët
Mardi 21 juin 2016. Le Président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a rencontré les commerçantes et commerçants du marché Mont-Bouët. Au cours d’un échange direct avec ces derniers, il a confirmé sa ferme volonté d’œuvrer à l’amélioration des conditions de travail de ces compatriotes.

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Arrivée du président de la république au marché de mon bouet à Libreville

- 21/6/2016

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Activités du Président de la République

Le chef de l’Etat est allé discuter avec les commerçantes de ce marché en vue de s’assurer de l’effectivité des mesures prises pour améliorer les conditions de vie des populations.

Les commerçants du marché Mont-Bouët de Libreville ont reçu la visite du chef de l’Etat le 21 juin 2016. Ils ont échangé sur les récentes mesures gouvernementales prises en vue de lutter contre la vie chère.

«Je suis venu écouter les commerçantes et commerçants qui vendent ici et voir les difficultés qui sont les leurs. Je suis aussi venu m’assurer que le programme que le gouvernement a défini il y a quelques semaines contre la vie chère puisse être opérationnel et je voulais le contrôler moi-même», a déclaré le chef de l’Etat.

Avec les responsables des PME et TPE exerçant dans cet espace commercial de la capitale, le président de la République a discuté des améliorations à apporter à leurs conditions de travail. Aussi ces derniers lui ont-ils remis un cahier de revendications qui portent sur les conditions difficiles de travail, l’immatriculation à la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) et la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) ou encore l’accès à des logements sociaux.

Avant le dialogue avec les marchands, Ali Bongo Ondimba a fait seul, le tour du plus grand marché de Libreville et accompli l’acte d’achat des produits locaux exposés sur les étals des commerçants. «Il y a un constat qui est clair, pour notre pays, ce n’est pas un marché qui correspond à ce que nous devons attendre pour la ville de Libreville», explique le président de la République. Qui poursuit : «il est bon que nous puissions nous-même faire la promotion des produits locaux».

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