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Insécurité aux abords des écoles : Le ministre de la défense au secours des parents d’élèves de Nzeng Ayong
Publié le samedi 21 mai 2016   |  Ministère


Mathias
© Autre presse par DR
Mathias Otounga Ossibadjouo, 2è directeur adjoint du cabinet du président de la République et tête de liste du Parti démocratique gabonais pour la commune d’Okondja


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Le ministre de la Défense nationale Mathias Otounga Ossibadjouo, a reçu le 18 mai, plusieurs représentants des associations des parents d’élèves de Nzeng Ayong dans le 6ème arrondissement de Libreville, accompagnés de quelques directrices des écoles, pour aborder la question d’insécurité grandissante aux abords des écoles de ce quartier.

Accompagnés du député de cette circonscription Jean Marie Ndoutoume Essone, ce sont des parents excédés par des actes de vandalisme, d’agression et de braquages perpétrés aux alentours des écoles, qui sont allés plaider auprès du Ministre de la Défense, afin qu’il commette des gendarmes dans cette partie de Libreville. En effet, le plus grand quartier de Libreville, autrefois paisible, connait actuellement d’énormes problèmes d’insécurité surtout à la nuit tombée et lors des jours fériés.

Pour Mme Lucie Ngontang, directrice de l’Ecole publique de Dragages, le soutien du ministre de la Défense pourra endiguer ce fléau qui ternit au quotidien l’image d’une cité pourtant en plein essor. Il suffit pour cela, a-t-elle expliqué, d’organiser des patrouilles dans des zones à risque et, également d’interpeller les personnes qui, sans raison valable sillonnent les cours des écoles les jours fermés.

Pour sa part, le ministre de la défense a assuré de saisir son collègue de la Sécurité, afin de travailler en symbiose pour une meilleure coordination des efforts sur le terrain, indiquant par la suite que l’aspect sécuritaire concernait toute la chaîne de l’éducation. Selon lui, Il faut ainsi manifester une solidarité entre les différents intervenants afin de donner quelque chose qui puisse garantir une quiétude auprès des apprenants.

Ainsi, Le Ministre a aussi laissé entendre que la première richesse qui puisse convenir au bien-être des populations n’est autre qu’une solidarité manifeste de tous.

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