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Minvoul, assassinat d’Akié Assembé Françoise : Les assassins et commanditaires dans les médias
Publié le samedi 21 mai 2016   |  Gabon libre




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La famille demande que sieur Adward Menie Mbo soit auditionné: le procès verbal d'audition de l'huissier de justice de la famille en dit long.
Suite à la disparition tragique de feue AKIE ASSEMBE Françoise, sa famille nucléaire est outrée par les versions taillées et déformées, sûrement données par ses "bourreaux" aux organes d'information "l'Union et Faits Divers".

D'entrée de jeu, avant de porter des éclaircissements pour démontrer ce mensonge, la famille tient à excuser ces organes de presse dont elle reconnait les mérites. Elle reste convaincue qu'ils ont été trompés par leurs correspondants locaux dont un est fils du village Ayéguéning, membre de la famille des assassins.

Revenant sur les faits, la famille constate d'abord que les mêmes erreurs se retrouvent dans les deux publications. Par exemple:
1- Ayéguéning n'a jamais été appelé Gabon-Ville; il s'agit de deux villages bien distincts et distant de trois (3) Km;
2- aucun membre de la famille ne reconnait avoir été approché par les médias;
3- les photos publiées sont les mêmes et aucun membre de la famille n'en détient. Bref.

A cet effet, la famille apporte un démenti formel aux allégation mensongères débitées par les assassins de la dame. Elle se demande comment les journaux ont pu se procurer de cette même image qui n'est jusque là détenue que par la gendarmerie de Bolossoville et le Tribunal d'Oyem (juge d'instruction)?

La famille se trouve dans le droit de soupçonner une certaine complicité entre la gendarmerie de Bolossoville et les assassins, puisque ayant été dessaisie de l'affaire par le procureur de la république près le tribunal de première instance d'Oyem, elle (gendarmerie de Bolossoville) n'a pas eu à joindre son procès verbal d'audition dans le dossier transmis à la Police Judiciaire pour enfin la transmettre au juge d'instruction. Nous Osons croire qu'il ne s'agit pas d'un oubli.

Par ailleurs, notons que la fille ainée de la défunte a transmis au juge d'instruction, lors de son audition, le procès verbal d'audition de l'huissier de justice qui s'est déporté sur les lieux à sa demande. Dans ce PV, il ressort clairement que Monsieur Edward MENIE MBO a remis de l'argent à Monsieur ONDIMBA du village Centreville (AKOME) pour tuer une femme avec qui il discutait le terrain. Monsier ONDIMBA a pris cet et s'est rapproché de Monsieur MINKO ABESSOLO LOîC Pour l'aider à abattre cette dame. stupéfait et surpris, Monsieur MINKO ABESSOLO a rejeté l'offre et est rapidement allé se plaindre auprès du chef de regroupement dudit village, Monsieur NDONG MINKO. Ce dernier, comme un bon chef de famille, a tenu à informer tout le village des états d'esprit de cet type Edward MENIE MBO, qui visiblement n'est pas à son premier forfait. Ce procès verbal est disponible peut être consulté. Le juge d'instruction à Oyem en détient d'ailleurs l'originale. Tous les noms cités sont des personnes connues et encore en vie. Le jeune Minko craint pour sa vie.

Or il se trouve que courant janvier 2016, Edward MENIE MBO, rejeté par la population de son village, a été hébergé par MINKWE Synclaire à Ayéguéning pendant des semaines, ce qui a d'ailleurs contraint la mère de Monsieur MINKWE Synclaire à fuir le village pour se réfugier à Oyem.

Contrairement à ce que publie l'Union et Faits divers, la disparition de dame AKIE ASSEMBE a été contstatée juste après leur départ du village. Les deux dames venaient de partir du village ESSONE BEKWE et marchaient sur une piste de débardage. Donc impossible de se perdre, d'ailleurs ces deux journaux affirment que le squelette aurait été retrouvé au bord d'un sentier! De qui se moque-t-on?

Les deux journaux affirment que la défunte souffrait des troubles de comportement depuis la mort de son mari. La famille défie quiconque, sous réserve du contenu sémantique, apporterait des preuve de telles allégations. Comment concevoir qu'une femme dans cet état puisse être invitée par sa belle sœur pour une partie de pêche qui devait durer plusieurs jours?

La famille se pose enfin les questions suivantes:

- qui a remis les photos à la presse alors que la famille n'a pas eu le droit d'en posséder?
- quel parent proche de la famille a été interrogé par la presse?
- pourquoi la gendarmerie de Bolossoville n'a pas remis à la PJ les PV d'audition des accusés malgré les instructions fermes données au chef de brigade par le procureur de la république en présence des plaignants?
- ENFIN POURQUOI EDWARD MENIE MBO n'a pas été auditionné jusqu'à présent malgré les affirmations accablantes contenues de le PV d'audition de l'huissier de justice?

Dans tous les cas, la famille se réserve le droit de demander un"Droit de réponse à l'Union et à Faits divers" et tient à ce que la vérité se manifeste.

L'observateur.

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