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Le Premier Ministre constate les dégâts de l’incendie produit au marché Mont Bouët
Publié le jeudi 12 mai 2016   |  Ministère


Daniel
© Autre presse par DR
Daniel Ona Ondo, premier ministre


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Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Pr. Daniel Ona Ondo s’est rendu ce mercredi 11 mai en fin d’après-midi, au marché de Mont Bouët à Libreville, pour constater l’ampleur des dégâts occasionnés par les flammes, qui ont dévasté plusieurs constructions à usage commercial.

C’est près d’une trentaine de boxes qui se sont envolés en fumée, suite au violent incendie qui s’est produit dans le plus grand marché de la capitale, sous les regards impuissants de leurs occupants.

Le premier ministre le Pr Daniel Ona Ondo, accompagné du 2e Maire Adjoint de la Commune de Libreville Chargé des Marchés, Jean Ngoua et du Directeur Général Chargé des Marchés, Max Laurent Ndong Moukandjo, s’est rendu sur les lieux pour constater de visu les importantes pertes en marchandise et autres biens de consommation.

Compte tenu des dégâts, Le Chef du gouvernement a rassuré les opérateurs économiques et les responsables du marché quant à la ferme volonté des pouvoirs publics de prendre des mesures idoines et urgentes pour remédier à la situation, dans les plus brefs délais.

Pour leur part, Les responsables du marché ont évoqué la difficulté à sécuriser cet espace commercial, compte tenu des emplacements anarchiques de certains commerces et de l’incivisme de certains opérateurs économiques dont la sécurisation de leur activité n’est pas une priorité.

Si jusque-là, les causes de cet incendie restent inconnues, les flammes seraient parties d’un box commercial avant de se propager progressivement sur l’ensemble du site. Mobilisés sur les lieux du drame, depuis le mardi 10 mai 2016, aux premières heures du drame, les soldats du feu ont lutté corps et âme pour venir à bout des flammes, qui avaient largement consumé l’essentiel des investissements.

Selon certains commerçants, il semblerait que les branchements électriques anarchiques soient à l’origine de ce sinistre, qu’on pourrait évaluer à des centaines de millions de nos francs.


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