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Rétropédalage de Jonas Moulenda dans les accusations contre Yolande Nyonda
Publié le samedi 30 avril 2016   |  Infos Gabon




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Libreville – Dans sa livraison de ce vendredi 29 avril 2016, le journal Faits Divers est revenu abondamment sur le crime rituel commis il y a deux (2) semaines à Fougamou, chef lieu du département de Tsamba Magotsi (Ngounié) sur le jeune élève Etienne Malata Doumambila par le trio : John Olivier Gératza, Dieudonné Douena et Gero Essono Essono.

A la lumière des faits et après investigations, le médium s’interroge et veut comprendre le fondement exact de cette affaire. Au moment où les commentaires vont bon train au sujet du meurtre du jeune Malata Doumambila, élève de 1ère au Lycée Léon Mboumba de Fougamou, commis dans la nuit du 9 au 10 avril 2016 par trois (3) assassins cités ci-haut, la famille de Mme Yolande Nyonda a ester en justice en France contre l’assassin pour dénonciation calomnieuse et le journaliste pour diffamation.

Déjà, les éléments énoncés à travers la vidéo ont été réfutés aussi bien par les gendarmes en service à la brigade de Fougamou que par les huissiers de justice français ayant été saisi par la famille de la plaignante, arguant qu’il s’agirait tout simplement d’un faux.

Puis, revenant sur ce croustillant puzzle, dans sa livraison du 29 avril 2016, Jonas Moulenda, responsable de l’hebdomadaire Faits Divers et auteur de l’article a avancé que les trois (3) assassins sont placés sous mandat de dépôt à la prison de Mouila depuis le 26 avril après leur passage devant le Procureur de la République.

« Il aurait répété que leurs interlocuteurs étaient des proches de Yolande Nyonda », a écrit Jonas Moulenda. Voilà qui vient couper court, car il faut signaler que le journaliste vient de restituer les données dans leur contexte ce, contrairement aux premières informations distillées à partir desquelles il avait affirmé que Mme Yolande Nyonda avait été nommément cité comme étant la commanditaire.

« S’agit-il de la vérité ou d’une simple manipulation pour jeter l’opprobre sur cette dernière ? », s’est interrogé le journaliste, reprenant en cœur la position partagée dans l’opinion.

Qui sont les proches dont on en parle ? Pourquoi n’ont-ils pas été arrêtés pour approfondir l’enquête ? Voilà les questions qui restent pendantes, car, dans une affaire similaire à Moanda, l’on avait parlé des proches d’une sénatrice qui étaient des auteurs d’un meurtre commis dans la localité. Mais, après enquête, il a été révélé que la dame ne s’était guère mêlée dans ce chek-up. Au moment des faits, elle se trouvait même en France ?

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