Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Sport
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Sport

Réaction de l’ANFPG suite à la violation du code du travail gabonais
Publié le mardi 1 mars 2016   |  Gabon News




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Le bureau exécutif de l’Association Nationale des Footballeurs Professionnels du Gabon (ANFPG) a réagi par la voix de son président Rémy Ebanéga, en fustigeant la diminution des salaires des footballeurs évoluant au Gabon.

En effet, l’ancien international gabonais Rémy Ebanéga, actuel président de l’ANFPG, est revenu lors de son allocution sur « la décision unilatérale de modifier de manière substantielle un élément Principal du contrat en cours d’un salarié (sa rémunération) sans discussion au préalable avec la personne concernée ou son représentant. »

Cette remarque du président est très sérieuse dans la mesure où, les salaires des footballeurs ont été considérablement revus à la baisse. Le revenu du joueur de 1ère Division est passé de 400 000 fcfa à 150 000 fcfa, et de 150 000 fcfa à 80 000 fcfa pour le joueur de 2ème division, sur la base des calculs adoptés par la LINAF.

Le président de l’ANFPG s’est efforcé « de rappeler que le footballeur n’est pas une propriété privée de son club. Il est lié avec ce dernier par un contrat de travail. Il a donc le droit d’être consulté au préalable sur des décisions relatives à la modification d’un élément de son contrat de travail quel qu’en soit le terme. »

Sachant que le nouveau contrat standard de l’ANFPG validé par la LINAF en novembre 2015, avait été établi selon le code du travail gabonais, l’ancien défenseur de l’USB a émis le souhait que les instances nationales et internationales se chargent de ce dossier, afin de régulariser la situation du footballeur en élaborant une charte nationale du football avant la CAN 2017.



Articles associés
Gabon Review
Football : «Violation flagrante du Code du travail», selon L’ANFPG
 

 Commentaires