Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2875 du

Abonnez vous aux journaux  -  Voir la Titrologie

  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Le « papy boom » de la présidentielle gabonaise
Publié le jeudi 18 fevrier 2016   |  Jeune Afrique


Jean
© Autre presse par DR
Jean Ping, opposant gabonais et ancien président de la Commission de l’Union africaine (UA)


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

À l’approche de l’élection présidentielle, les vieux routiers de la politique se sentent pousser des ailes. Les voilà tous sur le plot de départ. Et les jeunes, dans tout ça ?

Le changement ? Ça n’est toujours pas maintenant ! Ceux qui rêvaient de voir les dinosaures de la politique prendre leur retraite vont devoir attendre. Poussés hors des sphères du pouvoir, ces derniers ont basculé dans l’opposition et n’ont aucune intention de passer la main. Même s’ils ont trente, voire quarante années de vie publique au compteur, il est désormais clair que certains d’entre eux seront en lice pour la présidentielle, qui doit se tenir au second semestre. Et que les jeunes n’ont pas recueilli les dividendes de l’accession d’un quinquagénaire au Palais du bord de mer, en 2009. Dans un pays où, selon le dernier recensement, 62,3 % de la population a moins de 24 ans, c’est tout de même étrange.

Parti avant les autres, Jean Ping (73 ans) se pose en concurrent d’Ali Bongo Ondimba et se présente en homme neuf. Comme pour faire oublier plus de trente années passées au gouvernement… « Mao », comme on le surnomme, est en effet loin d’être un inconnu du sérail. Il est même un pur produit du régime de Bongo père. Dans la caravane du candidat, les alliés et compagnons de route ont, eux aussi, les tempes grisonnantes, comme l’ancien Premier ministre Jean Eyéghé Ndong (69 ans) ou l’ex-ministre des Sports René Ndémezo Obiang (68 ans).
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires