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La SEEG dope sa centrale d’Owendo
Publié le jeudi 10 decembre 2015   |  Gabon Review


Siège
© Autre presse par DR
Siège de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG)


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La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) vient de renforcer sa centrale thermique d’Owendo, exploitée jusqu’alors à un niveau proche de ses limites admissibles, de 40 MW supplémentaires.

En marge des travaux d’entretien du réseau gazier de Libreville et de Port-Gentil, la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) a procédé à l’augmentation de ses capacités de production électrique sur la centrale thermique d’Owendo. Concrètement, il s’est agi de l’installation et de la connexion de nouveaux groupes Aggreko à la centrale, pour une puissance installée de 20 mégawatts et l’opération de maintenance curative de la turbine à gaz (TAG) 2, pour une puissance installée de 20 mégawatts également, soit un total cumulé de 40 mégawatts supplémentaires.

Cette action, qui porte à 155 mégawatts la puissance installée des moyens thermiques de la centrale d’Owendo, soit 25% de sa capacité et environ 10% sur le réseau interconnecté de Libreville, s’inscrit dans un programme plus large, destiné à satisfaire la demande croissance en électricité. «C’est l’une des mesures urgentes prises par la direction générale de la SEEG pour maintenir dans la durée le niveau de performance technique de la centrale, ainsi que la qualité et la fiabilité du service, sans oublier l’alimentation de nouvelles installations», a affirmé le chef de division centrale thermique d’Owendo.

Avec l’opération de maintenance de la TAG2, la production additionnelle d’électricité des groupes Aggreko sera distribuée aux consommateurs raccordés au réseau interconnecté de Libreville, afin de contribuer à une plus grande régularité de l’offre énergétique. «Nous aurons moins de contrainte d’exploitation, parce que, plus on a de machines disponibles, mieux on peut entretenir nos équipements. L’objectif ici est de réduire la fréquence des coupures, car l’une des raisons de ces désagréments était la difficulté à entretenir les machines vu qu’il n’y avait pas de relais susceptibles de maintenir la production électrique», a expliqué André Justin Andeneze.

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