Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

La montée du terrorisme en Afrique inquiète le président Ali Bongo Ondimba
Publié le mercredi 30 septembre 2015   |  Agence de Presse Africaine


La
© Autre presse par DR
La garde à vue de Maixent Accrombessi, directeur de cabinet du président du Gabon, Ali Bongo Ondimba


 Vos outils




Libreville - Le président gabonais Ali Bongo Ondimba s’est inquiété de la montée de la menace terroriste en Afrique et a appelé la communauté internationale à renforcer son action contre des bailleurs de fonds de groupes tels que Boko Haram et Al-Chabaab, selon un communiqué de la direction de la communication présidentielle gabonaise parvenu à APA mercredi.

Rejetant dos à dos les groupes terroristes tels que Boko Haram en Afrique de l’ouest et Al-Chabaab dans l’est du continent, Ali Bongo Ondimba a, dans un discours prononcé lundi dernier, à l’Assemblée générale des Nations unies, exprimé son inquiétude face à la menace terroriste qui "ne cesse de s’amplifier".

Il a appelé la communauté internationale à redoubler d’efforts dans la lutte contre le terrorisme, notamment en s’attaquant aux bailleurs de fonds, qui alimentent ce phénomène, et en renforçant "la surveillance des circuits financiers" par lesquels transitent ces fonds.

Pour plus d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme ainsi que pour mieux relever les autres défis mondiaux, le chef de l’État gabonais a également préconisé la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU et la démocratisation de son fonctionnement.

Il a demandé une meilleure représentation des différentes régions du monde au sein de cette instance ainsi qu’une réforme du droit de véto pour en rationaliser l’exercice.

Le président gabonais s’est aussi inquiété des retards enregistrés dans les négociations préalables à la tenue du sommet sur le climat prévu à Paris (France) en décembre prochain.

Selon lui, le processus est encore loin du consensus nécessaire à la conclusion d’un accord global dans la capitale française.

Enfin, le chef de l’État gabonais a salué l’adoption, par l’Assemblée générale, à l’initiative du Gabon, d’une résolution sur le trafic des espèces sauvages.

Cette résolution traduit, selon lui, la volonté commune des pays d’origine, de transit et de destination, de venir à bout de ce fléau.

PIM/LMM/APA

 Commentaires