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La ministre Mengue M’Owono offre des vivres à deux orphelinats à Oyem
Publié le vendredi 17 juillet 2015   |  Agence Gabonaise de Presse




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La ministre des Transports, Paulette Mengue M’Owono a remis mardi dernier, à Oyem (nord), un don de produits de première nécessité pour les enfants de deux orphelinats dont «Cri de l’enfant » et « Avogab » ainsi qu’aux lépreux de l’hôpital « Hansenien d ’Ebeigne », rapporte, jeudi le correspondant local de l’AGP.

Le don de la ministre est essentiellement composé de 25 sacs de riz de 100kg, 50 cartons de savons, 42 cartons de boites de sardine, 70 cartons de spaghettis ,45 cartons de volaille, 10 cartons d’huile, 22 cartons de boites de Nido, 10 cartons de sucre, 37 cartons de boites de tomate concentrée et 17 cartons de poisson salé.

Pour Mme Mengue M’Owono, ce don du président de l’association « Convergence », Maixent Accrobessi Nkani, rentre dans la droite ligne de la politique de partage prôné par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, qui souhaite que tous les Gabonais ou qu’ils soient puissent bénéficier d’une réelle assistance, dans un esprit de solidarité.

"Au nom du président de « Convergence », nous vous exhortons à pousser ces enfants à faire des études, et nous ne pouvons que vous féliciter pour l’initiative qui est la vôtre, celle de recueillir tous ces enfants sans famille et de tenter de les remettre sur le droit chemin.

Il s’agit donc pour nous de vous exhorter à persévérer dans cette œuvre salvatrice, car il est question du Gabon de demain dont l’avenir se prépare aujourd’hui", a déclaré Mme Mengue M’Owono, en remettant ce don.

Les responsables des deux ONG, au nom de leurs pensionnaires, ont exprimé toute leur gratitude au président de l’association « Convergence » pour ce geste de générosité et de solidarité pour les enfants désœuvrés et abandonnés, mais aussi pour toutes ces personnes atteintes de la lèpre à Oyem.

Crée en 1990, l’ONG « Cri de l’enfant » compte dix sept pensionnaires, tandis que l’association des veuves et orphelins du Gabon (AVOGAB) compte quant à elle, une trentaine de pensionnaires.

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