Ils ont tous répondu à l’appel hier. Eux, ce sont les élèves des classes de cinquième année du primaire. L’heure des épreuves écrites du CEPE a sonné. Et le début fut sans incident dans tous les centres de la capitale.
Assidu et concentré, ils n’avaient que d’yeux leurs copies. Au centre de l’école pilote urbaine du centre, où la présidente Eléonore Obame effectuait le tour des salles, 242 candidats planchaient sur leur épreuve d’étude de texte. "Tout a bien commencé. Aucun incident n’a été enregistré", a-t-elle fait remarquer.
Au centre Saint-Joseph, déporté cette année sur le site de l’école publique Martine Oulabou, tout est calme pour la présidente Joséphine Wayita. " C’est vrai que, les débuts peuvent paraître difficiles, et dans la suite tout fini par s’arranger", a-t-elle dit.
Mais, au centre de l’ENS A,aucune information n’a été révélé par le directeur, sous prétexte de la présentation d’un ordre de mission. Un comportement regrettable qui suscite des interrogations. L’examen s’achève ce mercredi avec une journée fort en mathématiques.
