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Education nationale : Enfin, les examens de fin d’année
Publié le samedi 11 juillet 2015   |  Gabon Review


Examens
© Autre presse par DR
Examens de fin d`année


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33 421 candidats pour le Brevet d’études du premier cycle (BEPC) et 49 097 pour le Certificat d’études primaires (Cep) prendront part à ces différents examens de fin d’année dès le 13 juillet prochain.

Bien qu’ayant largement dépassé les dates initialement retenues et publiées par la Direction générale des Examens et Concours, les sessions 2015 du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) et du Certificat d’études primaires (Cep) débuteront le 13 juin courant sur l’ensemble du territoire national. C’est, en tout cas, la principale conclusion de la réunion de mise au point présidée, le 9 juillet dernier, par le ministre de l’Education nationale et à laquelle prenaient part les principaux acteurs impliqués dans ces échéances.

S’agissant du BEPC, prévu du 13 au 16 juillet prochain, 33 421 candidats plancheront dans 85 centres d’examen soit 29 à Libreville et 56 à l’intérieur du pays. Les 49 0 97 postulants au Cep, seront en vedette du 14 au 15 du même mois dans 264 centres dont 88 à Libreville et 176 dans le reste du pays.

Les derniers réglages visant à garantir la bonne tenue de ces épreuves ont visiblement été effectués de manière consensuelle. Les questions liées à l’organisation, au convoyage des épreuves, à la sécurité, à l’encadrement, au déroulement dans la sérénité ont été abordées. Tout est fin prêt, à ce qu’il semble. Ida Reteno Assonouet s’est également assurée de la composition des bureaux des centres, du respect du principe de l’anonymat dans la correction des copies et de la confidentialité dans la saisie des notes. «Tout effort visant à mieux organiser les examens sera récompensé. Cependant, à l’endroit d’éventuels encadreurs véreux, des sanctions sévères seront appliquées», a-t-elle averti.

S’agissant de la menace de boycott des épreuves brandie par certains enseignants, le ministre de l’Education nationale a dit avoir cerné les contours de la question et qu’aucune crainte n’est à se faire là-dessus. Merde aux candidats.

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