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Santé : Définition d’une nouvelle stratégie de coopération OMS-Gabon
Publié le jeudi 2 juillet 2015   |  Gabon Review


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© Autre presse par DR
Santé : Définition d’une nouvelle stratégie de coopération OMS-Gabon


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La nouvelle stratégie commune d’action entre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le gouvernement, est au centre d’un atelier de 48 heures dont les travaux se sont ouverts le 1er juillet courant à Libreville.

Présentée comme l’instrument qui permet à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’orienter ses activités, la stratégie de coopération fait l’objet d’une séance de travail à Libreville, du 1er au 2 juillet courant. Deux jours durant, les experts vont évaluer la précédente stratégie de coopération 2008-2015 entre le Gabon et l’agence onusienne, non sans effectuer une analyse des forces et faiblesses, opportunités et menaces et discuter des nouveaux axes stratégiques. Cet atelier est d’autant plus important que le document qui en découlera définira non seulement la relation entre l’OMS et le Gabon, mais fixera les axes stratégiques d’intervention pour les prochaines années.

Ouvrant les travaux, le ministre délégué à la Santé a exprimé sa gratitude à l’OMS pour son assistance technique et financière en vue de l’amélioration de l’état de santé des populations. «Les activités d’appui à la formation des politiques et plans d’action, au renforcement des capacités des cadres du ministère, l’introduction de nouvelles directives de traitement des pathologies (…) constituent autant d’actions qui permettent de répondre aux nombreux défis de la santé dans notre pays», a déclaré Youssouf Sidibé Nzengue-a-Kassa. «L’élaboration de la nouvelle stratégie de coopération entre l’OMS constitue donc une occasion de revisiter notre relation pour qu’elle prenne en compte de nombreux défis de la santé dans notre pays», a-t-il ajouté, rappelant : «L’OMS est le premier conseiller du ministère en charge de la Santé (…) et le plus important partenaire par le nombre de ressources humaines que vous mobilisez en notre faveur et dans les domaines dans lesquels vous intervenez». N’empêche, il a dit attendre encore beaucoup de l’organisation, notamment «pour nous accompagner mais également (coordonner) l’action des partenaires dans le domaine de santé pour mieux les harmoniser».

Rappelant pour sa part l’importance de l’adoption de la politique nationale de santé et du plan national de développement sanitaire, le représentant de l’OMS a affirmé que la volonté de son organisation est de s’assurer que «(leur) action s’intègre bien dans les priorités nationales et répond aux besoins des autorités nationales et des populations». Soulignant par ailleurs que la stratégie de coopération pays permet de disposer d’un cadre pouvant faciliter le partenariat, Boureima Hama Sambo a assuré que «l’OMS, en tant que premier partenaire en matière de santé du gouvernement, continuera à assumer son rôle de conseiller principal du ministère de la Santé et facilitateur du partenariat pour la santé au niveau du pays». Cet atelier doit déboucher sur la définition des prochains axes stratégiques répondant à un certain nombre de préoccupations en tête desquelles la lutte contre les maladies transmissibles, évitables ou non par vaccination, et celles non transmissibles (diabète, cancer, insuffisance rénale, drépanocytose, etc.)

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