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Le PDG survivra-t-il à ses contradictions internes : Quid de l’affrontement
Publié le mardi 30 juin 2015   |  Gaboneco


PDG
© Autre presse par DR
PDG : Comme une indifférence d’Ali Bongo


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Les membres du Mouvement des Amis d'Ali Bongo Ondimba, MOGABO, sont- ils prêts à accepter de partager l'idée des élus et cadres militants du Parti Démocratique Gabonais PDG, regroupés au sein du rassemblement "HERITAGE ET MODERNITE" qui demandent la tenue d'un Congrès extraordinaire dit de clarification? Pour quoi faire? Doivent- ils se demander.

Et pourtant, depuis la sortie du rassemblement du 27 juin dernier, le commun des mortels est désormais au courant que le torchon brûle entre camarades qui ont intérêt à ce que la maison laissée par Omar Bongo Ondimba survive à son départ en préservant l'unité, la concorde et la paix et ne visant qu'un seul et même objectif: la satisfaction du bien du grand nombre tel que voulue par le chef de l'Etat gabonais eu égard au projet de société "l'Avenir en confiance" pour lequel il a été plébiscité en 2009.

Or, ce que les pourfendeurs de leurs camarades du MOGABO relèvent, c'est bien que ce mouvement fait ombrage au président du PDG et l'empêche de mettre en musique ledit projet de société, augmentant ainsi la misère des Gabonais qui risquent à la longue de n'être plus convaincus par la faisabilité de celui- ci. Du coup, s'instaure un véritable débat autour de la manière de conduire le parti au pouvoir et d'instaurer la confiance dans le peuple qui continue d'attendre la manifestation pratique des intentions de campagne de" Ya Ali".

En même temps que les vieilles querelles entre membres de la formation politique refont surface, la menaçant non pas d'éclatement si l'on tient compte du sermon de Barro Chambrier, mais de crise profonde, au profit de ses adversaires à la recherche aujourd'hui plus qu'hier apparemment d'un second souffle pour faire bouger les choses en leur faveur lors de la présidentielle de 2016. Il y a donc lieu de craindre que les empoignades de maintenant ne soient le détonateur d'un esprit belliciste qui pourrait profiter à l'opposition qui ne s'en porterait que mieux. Est-ce cela l'objectif poursuivi par les uns et les autres "MOGABO" et "HERITAGE ET MODERNITE"? Nous croyons que non, mais alors qu'est-ce qui peut bien faire qu'ils en soient chacun à développer la thèse contraire à celle de l'autre? Pour ne pas dire qui a raison dans cette affaire qui se résume encore à des accusations et dénonciations, sans plus. A Ali Bongo Ondimba de, comme son père à l'époque, se montrer au-dessus de la mêlée en conduisant ses troupes dans la même direction pour de nouvelles victoires qui ne doivent plus constituer une limite à son action puisqu'elles doivent l'amener à être en phase avec les populations qui lui accordent leurs suffrages. Ces populations qui continuent d'attendre que le "miracle gabonais", un peu comme le Meiji japonais", s'opère.

Mais pour cela, il faut que tous sans exception au sein du PDG cessent de se comporter comme des forces centrifuges cultivant des contres valeurs si ils veulent éviter que l'atmosphère délétère née du désaccord entre eux ne viennent miner l'équilibre d'antan de la formation politique dans un environnement concurrentiel. Cela, doit-on se dire de quelque bord que l'on soit dans le parti démocratique gabonais, ne peut se réaliser que dans un cadre privilégiant le parler vrai et la pluralité d'expressions dans la discipline.

Et pourtant, depuis la sortie du rassemblement du 27 juin dernier, le commun des mortels est désormais au courant que le torchon brûle entre camarades qui ont intérêt à ce que la maison laissée par Omar Bongo Ondimba survive à son départ en préservant l'unité, la concorde et la paix et ne visant qu'un seul et même objectif: la satisfaction du bien du grand nombre tel que voulue par le chef de l'Etat gabonais eu égard au projet de société "l'Avenir en confiance" pour lequel il a été plébiscité en 2009.

Or, ce que les pourfendeurs de leurs camarades du MOGABO relèvent, c'est bien que ce mouvement fait ombrage au président du PDG et l'empêche de mettre en musique ledit projet de société, augmentant ainsi la misère des Gabonais qui risquent à la longue de n'être plus convaincus par la faisabilité de celui- ci. Du coup, s'instaure un véritable débat autour de la manière de conduire le parti au pouvoir et d'instaurer la confiance dans le peuple qui continue d'attendre la manifestation pratique des intentions de campagne de" Ya Ali".

En même temps que les vieilles querelles entre membres de la formation politique refont surface, la menaçant non pas d'éclatement si l'on tient compte du sermon de Barro Chambrier, mais de crise profonde, au profit de ses adversaires à la recherche aujourd'hui plus qu'hier apparemment d'un second souffle pour faire bouger les choses en leur faveur lors de la présidentielle de 2016. Il y a donc lieu de craindre que les empoignades de maintenant ne soient le détonateur d'un esprit belliciste qui pourrait profiter à l'opposition qui ne s'en porterait que mieux. Est-ce cela l'objectif poursuivi par les uns et les autres "MOGABO" et "HERITAGE ET MODERNITE"? Nous croyons que non, mais alors qu'est-ce qui peut bien faire qu'ils en soient chacun à développer la thèse contraire à celle de l'autre? Pour ne pas dire qui a raison dans cette affaire qui se résume encore à des accusations et dénonciations, sans plus. A Ali Bongo Ondimba de, comme son père à l'époque, se montrer au-dessus de la mêlée en conduisant ses troupes dans la même direction pour de nouvelles victoires qui ne doivent plus constituer une limite à son action puisqu'elles doivent l'amener à être en phase avec les populations qui lui accordent leurs suffrages. Ces populations qui continuent d'attendre que le "miracle gabonais", un peu comme le Meiji japonais", s'opère.

Mais pour cela, il faut que tous sans exception au sein du PDG cessent de se comporter comme des forces centrifuges cultivant des contres valeurs si ils veulent éviter que l'atmosphère délétère née du désaccord entre eux ne viennent miner l'équilibre d'antan de la formation politique dans un environnement concurrentiel. Cela, doit-on se dire de quelque bord que l'on soit dans le parti démocratique gabonais, ne peut se réaliser que dans un cadre privilégiant le parler vrai et la pluralité d'expressions dans la discipline.

JGN

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