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Ebola: "Nous sommes indemnes, mais pas à l’abri", a indiqué Ellen Johnson-Sirleaf
Publié le mercredi 27 mai 2015   |  Fraternité Matin


Assemblées
© aLibreville.com par Atapointe
Assemblées annuelles de la BAD à Abidjan: Plusieurs chefs d`Etats assistent à la cérémonie d`ouverture
Plusieurs chefs d`Etats et de gouvernement ont pris part à la cérémonie officielle d`ouverture des assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement qui se tient à Abidjan.


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La Présidente de la République du Liberia, Ellen Johnson-Sirleaf, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, le Secrétaire exécutif de la Commission économique africaine, Carlos Lopez et le ministre sierra-léonais des Finances ont animé un panel sur la maladie à virus Ebola. C'était en marge des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement, ce lundi 25 mai, à Abidjan-Cocody.

Au dire de la Présidente libérienne, après le bilan l'éradication du virus, son pays est tout aussi déterminé que l’Organisation mondiale de la santé. « Mais nous ne sommes pas tout à fait à l’abri tant que les autres pays ne se retrouvent pas dans la même situation que nous ».

Ellen Johnson-Sirleaf a indiqué qu’un rapport du Libéria sur la maladie a été débattu lors du printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale. Le contenu de ce rapport rappelle que la croissance a chuté à cause de l'Ebola. « Nous avons dû renoncer à nos programmes de développement, les écoles avaient fermé, les investisseurs étaient partis, nous étions stigmatisés », dit-elle.

Mais, annonce Mme Sirleaf, les perspectives économiques du Libéria ont changé grâce au soutien des partenaires internationaux.

« On ne s’attendait pas à ce que la maladie arrive en Afrique de l’ouest », a déploré le Premier ministre Daniel Kablan Duncan. Qui toutefois a indiqué que le gouvernement ivoirien, dès l’annonce de cas en Guinée, avait envoyé 15 médecins en mission. Par la suite un comité de veille se réunissant deux fois par mois avait été créé. Des messages ont été portés aux autorités locales et chefs traditionnels pour qu’ils puissent sensibiliser les populations aux risques. Cependant, il retient que la maladie à virus Ebola a montré les faiblesses du système sanitaire. Sans manquer de saluer Donald Kaberuka pour l’action que la Banque africaine de développement a apportée dans la riposte.
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