Abdoulaye Bathily n’en finit pas de prêcher pour le maintien de la paix au Gabon #aLibreville

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Abdoulaye Bathily n’en finit pas de prêcher pour le maintien de la paix au Gabon

Publié le jeudi 2 avril 2015 | Gaboneco

© Autre presse par DR
Abdoulaye Bathily, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour l’Afrique centrale et chef du bureau régional des Nations unies pour l’Afrique centrale

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- 27/3/2015

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Poursuivant sa mission de contribuer au développement et à la paix civile dans les pays d’Afrique centrale, Abdoulaye Bathily, le représentant du Secrétaire général des Nations Unies dans la sous-région (UNOCA), vient de réaffirmer sa volonté d’instaurer un climat d’apaisement dans le paysage sociopolitique gabonais.

Malgré une série de rencontres initiées par le représentant du Secrétaire général des Nations Unies en Afrique centrale, Abdoulaye Bathily avec les autorités gabonaises dont le Premier ministre, Daniel Ona Ondo, la présidente de la Cour constitutionnelle, Marie Madeleine Mborantsuo et certaines personnalités de l’opposition gabonaise, la sphère politique nationale n’en finit pas de connaitre des remous et des conflits larvés sous-tendus par une crise sociale caractérisée par une succession de nombreux mouvements de grève.

La bataille pour l’apaisement des tensions n’est pas finie reconnait Abdoulaye Bathily. «Le Gabon a besoin de la paix et de la tranquillité. Ce pays, comme tous les autres pays de la sous-région, est confronté à un certain nombre de problèmes et, ce qui vient tout de suite à l’esprit, c’est la baisse brutale du prix du pétrole qui a des conséquences sur la vie économique et sociale (…) Je vais m’employer, de mon côté, à contribuer au rapprochement des points de vue » ajoute-t-il.

Quelques mois après ses premières initiatives de sensibilisation, la voix de ce diplomate au service du maintien de la paix au Gabon et dans la sous-région ne semble pas être entendue de part et d’autres. La poursuite des tensions sociopolitiques semble clairement l’illustrer.

Dans un tel univers d’insouciance individualiste, la campagne du représentant du Secrétaire général des nations Unies dans la sous-région portera-t-elle ses fruits?

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