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Pas encore d’année blanche au Gabon (ministre)
Publié le mercredi 18 mars 2015   |  Agence de Presse Africaine


Ida
© Autre presse par DR
Ida Reteno Assonouet, ministre de l`Education nationale et de l`Enseignement technique et professionnel


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Le ministre gabonais de l’Education nationale, Ida Assenouet Reteno, dans un communiqué publié mardi soir, a déclaré que l’Etat n’avait pas décrété une année blanche, démentant ainsi de rumeurs persistantes qui soutienne que pareille a déjà été décidée par l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).

''En réaction aux rumeurs persistantes selon lesquelles l'UNESCO aurait décrété une année blanche au Gabon, entendu le démenti formel du secrétaire général de la commission nationale pour l'UNESCO, le ministre de l'Education nationale et de l'enseignement technique et professionnel tient à préciser que le Gabon, Etat souverain, seul habilité à le faire, n'a pas décrété une année blanche'', indique le communiqué.

Selon le document, le gouvernement entend ainsi rassurer la communauté nationale, les parents d'élèves et les élèves, ainsi que les enseignants de tous ordres que des mesures de sécurité particulières ont été prises pour assurer le bon déroulement des cours, la protection des biens et des personnes, notamment des élèves, des enseignants et des personnels administratifs.

D'autre part, poursuit le texte, le calendrier scolaire et celui des examens ont été réaménagés et seront communiqués aux chefs d'établissements dans les tout prochains jours.

Le communiqué du gouvernement gabonais est intervenu quelques heures après celui de la Commission nationale de l'UNESCO précisant que la responsabilité de décréter une année blanche n'était pas de son ressort.

Depuis plus d'une semaine, des informations circulent sur les réseaux sociaux indiquant que l'UNESCO ne validerait pas cette année scolaire au Gabon.

L'enseignement public est paralysé depuis le 9 février dernier, suite à une grève généralisée dans l'administration publique gabonaise.

Les grévistes réclament une hausse du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) à 300.000 FCFA. Le SMIG est actuellement de 80000 FCFA.

PIM/cat/APA

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