Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2825 du

Abonnez vous aux journaux  -  Voir la Titrologie

  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Casimir Oyé Mba : "Seule solution pour sortir de l’impasse politique au Gabon, le dialogue"
Publié le lundi 2 mars 2015   |  Jeune Afrique


Casimir
© Autre presse
Casimir Oyé Mba, ancien Premier ministre d’Omar Bongo et ancien gouverneur de la Banque des États d’Afrique central (BEAC)


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Casimir Oyé Mba, opposant gabonais et ancien Premier ministre d’Omar Bongo Ondimba, appelle une nouvelle fois le chef de l’État au dialogue national.

Cadre éminent du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) depuis les années 1970, Casimir Oyé Mba en a démissionné pour se présenter à la présidentielle de 2009, avant de retirer sa candidature à la dernière minute. Il est passé dans l’opposition l’année suivante en participant à la création de l’Union nationale. Très critique sur le septennat d’Ali Bongo Ondimba, l’ancien Premier ministre de son père explique "ce qui ne va pas". Et, comme il l’avait fait en 2009, appelle à un dialogue national.

> > Lire aussi : Gabon : la présidentielle de 2016, c’est déjà demain

Jeune afrique : Comment jugez-vous la situation politique au Gabon ?
CASIMIR OYÉ MBA : Les personnalités proches du pouvoir soutenaient que tout allait bien, mais aujourd’hui il semble qu’elles se soient enfin rendu compte que ça n’allait pas. Elles commencent à parler de dialogue... Les tensions actuelles ont plusieurs causes. La première est que les Gabonais savent que la Cour constitutionnelle, le ministère de l’Intérieur et la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) ont accordé la victoire à Ali Bongo Ondimba, qu’il a été installé et qu’il a la légalité pour lui, mais ils ne se reconnaissent pas dans ce pouvoir. Cette élection ne lui a pas apporté assez de légitimité pour gouverner dans de bonnes conditions.
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires