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Le meeting de l’opposition reporté au 24 janvier
Publié le mercredi 21 janvier 2015   |  Gabon Review


Affaire
© Autre presse par DR
Affaire Pierre Péan: Les forces de l’ordre dispersent une marche non autorisée de l’opposition
Jeudi 13 novembre. Libreville. le Front de l’opposition, un mouvement qui regroupe plusieurs leaders de l’opposition gabonaise à organisé une une marche en vue de faire pression sur Ali Bongo


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Initialement annoncé pour le 20 janvier dernier, le remake de la manifestation du 20 décembre 2014 a été reporté de quatre jours en raison des tractations autour de la dépouille de Bruno Mboulou Beka.

Attendue par ceux des gabonais qui avaient pris rendez-vous pour le 20 janvier dernier, la réunion publique annoncée par le Front de l’opposition pour l’alternance n’a finalement plus eu lieu ce jour. Celles et ceux qui entendent assister à ce meeting présenté comme la suite de celui, autorisé puis interdit, du 20 décembre 2014, devront patienter quatre jours encore, la manifestation ayant simplement été repoussée au 24 du mois courant. «Notre meeting est toujours d’actualité et se tiendra comme promis. Pour des raisons humanitaires et stratégiques nous avons choisi de le décaler en début de week-end prochain», a confié une source proche du comité d’organisation.

De fait, le report de la rencontre serait justifié par la volonté des membres du Front de l’opposition pour l’alternance de rendre hommage à Bruno Mboulou Beka, tué le 20 décembre 2014 et dont la sortie de la dépouille était prévue pour le 20 janvier 2015. Le témoignage des leaders de l’opposition et de certains citoyens devait se manifester par une grande marche en mémoire de celui que l’on considère comme un «martyr». Malheureusement, cette procession n’a pu avoir lieu. «La famille du défunt a refusé de se faire imposer un médecin par le gouvernement. Elle réclame un médecin indépendant pour la réalisation de l’autopsie qui était prévue pour le 19 janvier dernier», explique-t-on.

Quoi qu’il en soit, les circonstances de la mort brutale, le 20 décembre dernier, du jeune homme n’ont pas encore été élucidées. Or, la famille a décidé de ne pas entrer en possession de la dépouille tant que ce devoir de vérité n’est pas accompli par l’État.

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