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Gabon : La polémique autour des origines d’Ali Bongo s’accentue
Publié le samedi 6 decembre 2014   |  infosplusgabon


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© Autre presse par DR
Le chef de l`Etat, SEM Ali Bongo Ondimba


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LIBREVILLE - L’opposition et la société civile gabonaises sont en Congrès à Parisa lors qu'au Gabon elles persévèrent pour réclamer la démission du chef de l’État, qui aurait été adopté au Nigeria, selon un livre de Pierre Péan.


Récemment, le journal "Le Monde" a présenté un acte de naissance rédigé à Brazzaville et une photographie, censés affaiblir la thèse de Pierre Péan.
Dans son livre " Nouvelles Affaires Africaines", le journaliste Pierre Péan, affirme qu'Ali Bongo aurait été adopté au Nigeria. Le journal "Le Monde" a présenté un acte de naissance rédigé à Brazzaville et une photographie, censés affaiblir la thèse de Pierre Péan.


L’auteur accuse le chef de l’Etat gabonais d’avoir ordonné l’assassinat d’opposants, d’avoir volé l’élection présidentielle de 2009 avec la complicité de Nicolas Sarkozy, de s’être fait fabriquer de faux diplômes en France ou bien encore d’être à la tête d’une « légion étrangère » qui a fait main basse sur le pays. Cependant, l’accusation la plus sensible porte sur les origines d’Ali Bongo. L’occupant du Palais du bord de mer est, selon M. Péan, né au Biafra et a été adopté à la fin des années 1960 par Omar Bongo et son ancienne épouse Joséphine lorsqu’il était âgé d’une dizaine d’années. Cette rumeur circule de longue date mais l’écrivain assure n’avoir « aucun doute » sur la véracité de ce qu’il affirme.
Invité à France 24 par Pauline Simonet. Marc Ona Essangui, l’un des leaders de la Société civile qui participe au Congrès de la diaspora gabonaise à Paris depuis vendredi a commenté la situation née de la filiation d’Ali Bongo qui, selon la Constitution ne devait pas se présenter à la présidentielle de 2009.
L'opposition et la société civile manifestent pour réclamer la démission du chef de l’État Nous y reviendrons.


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