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Le cyber activiste « Landry Amiang Washington » financé par l’opposition gabonaise ?
Publié le jeudi 4 decembre 2014   |  Gaboneco




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La publication sur Facebook, d’un bordereau de transfert d’argent de Western Union, en faveur de Fernand Amiang, alias « Landry Amiang Washington » cyber activiste extrêmement virulent envers le pouvoir en place, et envoyé par Ghislain Ledoux Mbouvoué Edou, président des jeunes de l’ex Union nationale, a fait l’effet d’une bombe sur la toile.

Landry Amiang Washington à la solde des hiérarques de l’ex Union nationale ? C’est la question que se posent les internautes qui suivent quotidiennement les vidéos postées par ce cyber activiste gabonais, installé aux Etats Unis et qui s’est toujours montré très virulent, voire violent envers Ali Bongo et le pouvoir en place.


A l’origine de cette interrogation, un bordereau d’envoi d’argent (Western Union), posté par un Facebooker, Narcisse Nguimba.


Sur celui-ci, l’on peut lire le nom de l’expéditeur, Ghislain Ledoux Mbovoué Edou, président des jeunes de l’ex Union nationale ; le montant envoyé qui est de 1 million de francs CFA. Et l’expéditeur… Fernand Amiang Ndong qui n’est autre que celui qui se fait appeler Landry Ami Washington sur Facebook.


Depuis la publication de ce document, de nombreux commentaires et interrogations fusent de partout.

Quels liens unissent les deux hommes ?

Connu sur les réseaux sociaux pour sa haine viscérale envers Ali Bongo, sa famille et son entourage, cette prise de position de Landry Amiang pourrait s’expliquer, selon certains observateurs qui ont largement publié le document posté sur Facebook, par le fait qu’il se ferait payer par l’ex Union nationale pour insulter et salir, dans la mesure du possible, le chef de l’Etat.

La publication de ce bordereau vient poser le problème de la manipulation des populations via les réseaux sociaux. Des cyber activistes qui se servent de leur notoriété pour servir, moyennant des espèces sonnantes, les intérêts égoïstes de certains hommes politiques rompus à des méthodes inavouables, mais qui, devant le peuple, présentent des visages « dignes et intègres ».

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