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Education : Les membres du Seceg réclament le paiement immédiat de la Pip et la Prime d’expatriation
Publié le jeudi 13 novembre 2014   |  Gaboneco


Ida
© Autre presse par DR
Ida Reteno Assonouet, ministre de l`Education nationale et de l`Enseignement technique et professionnel


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Après une première prise de contact il y a quelques jours, les membres du Syndicat des enseignants contractuels de l’état gabonais (Seceg) réunis lundi 10 novembre 2014 autour du ministre de l’Education nationale, Ida Reteno Assonouet ont exigé du gouvernement, le paiement immédiat de la Prime d’incitation à la performance (Pip) et de la Prime d’expatriation.

Face au ministre de l’Education nationale, Ida Reteno Assonouet lundi 10 novembre 2014 dans le cadre de la poursuite des négociations avec les syndicats du secteur éducation, les membres du Syndicat des enseignants contractuels de l’Etat gabonais (Seceg) ont réclamé au gouvernement le paiement de la Prime d’incitation à la performance (Pip) et de la prime d’expatriation.

Au cours de leur rencontre, les membres du Seceg ont également exigé la révision des contrats qui les lient à l’Etat estimant que certains étaient caducs car bon nombre d’enseignants sont liés au Gabon par des contrats locaux alors qu’ils ont été recrutés dans leurs pays respectifs.

« Nous demandons seulement de se conformer à ce que dit la loi car il y a plus de 200 enseignants qui sont concernés par le problème de faux contrats. Nous estimons que si on recrute un enseignant à l’étranger il doit avoir un contrat d’expatrié et s’il est recruté au Gabon il doit avoir un contrat local. Or, dans les dossiers dont nous disposons les enseignants ont tous des contrats locaux, ce qui n’est pas normal » a indiqué Clément Kenzo, secrétaire général du Seceg.

Pour étudier en profondeur le problème, les deux parties ont convenu de mettre en place une commission afin d’analyser au cas par cas les dossiers litigieux et de statuer sur les procédures engagées par l’Etat au moment du recrutement des enseignants ayant signé un contrat avec le ministère de l’Education nationale.

« Nous attirons l’attention des autorités sur ce problème afin que désormais s’il y a des textes, il faut qu’ils tiennent compte de ce que prévoit la loi en matière de recrutement à l’étranger. Nous remercions les plus hautes autorités notamment le président de la République et le Premier ministre qui nous ont accueilli au Gabon où travaillons » a conclu le secrétaire général du Seceg.

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