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L'Union N° 11421 du 3/1/2014

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Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) : les ex-agents des hôpitaux stigmatisent l’attitude de certains leaders syndicaux
Publié le lundi 6 janvier 2014   |  L'Union


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© Autre presse par DR
Le slège de la CNSS à Libreville


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Ces derniers exigeraient de leurs camarades des cotisations bien loin de leurs principales revendications.Au cours d'un point-presse tenu samedi dernier, à la Chambre de commerce, les ex-agents des hôpitaux de la Caisse nationale de la sécurité sociale (CNSS) ont, par le biais de leur porte-parole, Ferdinand Adonebang, stigmatisé l'attitude de certains syndicats qui, par leurs agissements, ralentiraient le processus de liquidation des droits légaux des ex-employés des structures sanitaires de la CNSS.

Sans jamais les citer, Adonebang a indiqué que ces organisations syndicales se réclamant des ex-agents des hôpitaux de la CNSS, ou du moins leurs présidents, traîneraient les pieds à aller au terme dudit processus, en prenant notamment en otage leurs adhérents. En leur exigeant à chaque rencontre, " des cotisations utiles au traitement des erreurs de calcul ou omissions commises par l’État dans le paiement du solde de tout compte de certains agents ". Une situation qui, en réalité, à en croire l'orateur, ne profite qu'à certains leaders syndicaux ayant trouvé là, à l'entendre, un filon pour se faire aisément de l'argent sur le dos de leurs camarades. D'autant que, selon lui, une erreur, qui plus est imputable aux pouvoirs publics, ne pourrait être corrigée que par son auteur au moyen des réclamations et preuves fournies par les ex-agents qui se sentiraient lésés.

Le malaise de Ferdinand Adonebang et ses camarades est d'autant plus grand que, selon lui, l’État s'est muré dans un silence complice en cautionnant les comportements de ces leaders syndicaux.

Avant de préciser que les seules et légitimes revendications qui vaillent à leurs yeux sont de nature collective. Essentiellement, le paiement de l'indemnité transactionnelle et la rectification des erreurs et omissions constatées dans le calcul du solde de tout compte de certains de leurs ex-collègues.

" Si d'ici la fin de ce mois, nous n'obtenons pas de satisfactions, nous descendrons dans la rue ", a-t-il laissé entendre.

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