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Des ministres sur la sellette
Publié le mardi 16 septembre 2014   |  Gabon Review


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© Autre presse par DR
Le conseil des ministres


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La démission de Léon N’Zouba devrait sans nul doute donner l’occasion à Ali Bongo de débarquer du gouvernement des ministres jugés inefficaces jusqu’à ce jour.

Depuis la démission de l’ancien ministre de l’Education nationale, Léon N’Zouba, des rumeurs tendent à accréditer l’idée d’un remaniement «technique» du gouvernement. De nouveaux visages et davantage de nouvelles compétences devraient faire leur entrée dans l’équipe Ona Ondo. Pourtant, depuis le 31 août dernier, rien ne semble poindre à l’horizon. Ali Bongo n’a-t-il toujours pas trouvé de nouvelles «perles rares» ? En tout cas, la longue période d’attente suscite de nombreuses interrogations.

En effet, estime «Jeune Afrique» (n°2801), «le problème est moins de remplacer le démissionnaire que d’injecter du sang neuf» dans la machine. Si Ali Bongo consentirait à garder le Premier ministre actuel, tout porte à croire que l’équipe devrait être fortement remaniée : «une demi-douzaine de ministres», plus que jamais sur la sellette, devraient se voir débarqués. A en croire l’hebdomadaire panafricain, «c’est peu de dire qu’Ali Bongo n’est pas satisfait de l’équipe qui entoure (…) le chef du gouvernement». Une déception qu’il n’a d’ailleurs pas cachée au cours d’un récent entretien accordé au même média (n°2800). «Les Gabonais attendent beaucoup plus», avait-il lancé, avant d’exiger «mieux» de ses ministres. Il n’en fallait pas plus pour que des noms soient cités. On apprend ainsi que nombre de ministres, jugés très peu présents, à l’instar des titulaires des portefeuilles des Transports, de l’Enseignement supérieur ou de la Communication, sont perçus comme les potentiels partants. De même, croit savoir «Jeune Afrique», certains seront débarqués «parce qu’ils sont concernés par les enquêtes diligentées après l’audit des finances publiques engagé début 2013».

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