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Biyoghe Mba pour une interactivité améliorée avec le gouvernement
Publié le jeudi 4 septembre 2014   |  Gabon Review


Paul
© Autre presse par DR
Paul Biyoghé Mba, président du Conseil économique et social.


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Le président du CES entend contribuer au renforcement des relations entre son institution et l’équipe conduite par Daniel Ona Ondo.


A l’occasion de l’ouverture, mardi 2 septembre dernier, de la 2ème session ordinaire du Conseil économique et social (CES) de l’année 2014, le président de cette institution a estimé qu’un travail conjoint entre l’Exécutif et l’institution dont il a la charge est gage d’amélioration des conditions de vie des Gabonais. Paul Biyoghe Mba a appelé Daniel Ona Ondo à une meilleure écoute, notamment s’agissant des questions relatives à la protection du citoyen. «Nous sommes les conseillers de la République, les conseillers de l’Exécutif. C’est une tâche parfois ingrate mais également exaltante», a-t-il tenu à rappeler avant d’ajouter à l’endroit de son lointain successeur à la Primature : «Nous souhaitons que sous votre direction, nos deux institutions travaillent de pair, travaillent en complémentarité. En tant que votre conseiller, mot qui vient de conscience, nous serons toujours disposés à vous apporter notre modeste éclairage. Quitte à vous de le prendre en considération, en fonction de vos priorités.»

Le tout premier Premier ministre d’Ali Bongo a soufflé le chaud et le froid. Si s’est montré satisfait du travail du gouvernement, il s’est tout de même dit préoccupé par la prise en compte réelle du citoyen dans les politiques publiques. Annonçant que le premier des 3 principaux dossiers sur lesquelles les conseillers devront pencher au plus vite, porte sur «la protection sociale au Gabon», le président du CES a rappelé la place de l’homme dans le processus de développement d’un pays. Pour lui, «toute politique publique qui ne met pas la protection du premier acteur du développement qu’est l’homme au centre, nécessite d’être revue et corrigée». Et pour cause, a-t-il justifié : «Le citoyen, et en particulier le citoyen gabonais a besoin d’être sécurisé sur tous les plans.» Un appel qui, on l’espère ne tombera pas dans l’oreille d’un sourd.

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