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L’UPG pour une restructuration de la Cenap
Publié le samedi 30 aout 2014   |  Gabon Review


Pierre
© Autre presse par DR
Pierre Mamboundou, fondateur de l’UPG.


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Par la voix de son secrétaire général, l’Union du peuple gabonais (UPG), a exposé sa vision de la réorganisation de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap), jugée nécessaire avant 2016.

A deux ans de la prochaine élection présidentielle, les formations politiques de tous bords fourbissent leurs armes. Si chaque parti s’attèle désormais à préparer cette joute qui, pour certains, présage d’un important changement au sommet de l’Etat «par tous les moyens», dixit Jean Ping, pour d’autres, la victoire passe nécessairement par des réformes. Au nombre de celles-ci, la réforme de la principale entité chargée de la gestion des élections au Gabon : la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap). Accusée de tous les maux depuis sa création, l’institution dirigée par René Aboghe Ella est l’objet d’une attention particulière de la part des responsables de partis politiques de l’opposition, et particulièrement de ceux de l’Union du Peuple Gabonais (UPG).

Au cours de l’émission «La Grande interview» le 28 août dernier sur Gabon Télévision, le secrétaire général de l’UPG a réaffirmé le souhait de sa formation politique de voir cette institution reconfigurée. «On pourrait avoir 7 représentants de l’opposition, 7 représentants de la Majorité et 3 représentants de la société civile», a-t-il proposé, avant d’indiquer qu’il faut en finir avec le régime de la nomination pour consacrer l’élection du président par un collège de pairs. «A l’intérieur de ce collège, on pourrait organiser une assemblée générale. De celle-ci sortira un bureau avec un président qui soit indiscutable et absolument non discuté.» Pour Bruno Ben Moubamba, «ce sont des efforts qui doivent être mis en place dans le cadre de l’instauration d’une forme de démocratie participative qui permet à la commission de disposer de membres bénéficiant d’une légitimité démocratique». «L’UPG a fait ces propositions sans être entendue de même qu’il a été le cas en 2006 aux Accords d’Arambo», a-t-il regretté. Espérons qu’il en soit autrement cette fois-ci…

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