La présidence de la république est réputée, un lieu difficile d’accès dans tous les Etats du monde, pour raison stratégique de haute sécurité, ce qui crée de fait et nécessairement autour les hommes et des femmes qui y travaillent et plus encore autour des collaborateurs immédiats du président de la république, mystères et fantasmes.L’autre motif en est qu’à la différence des services publics des ministères qui sont affectés aux usagers et au public, les services de la présidence de la république servent avant tout le président de la république. Qu’ainsi ne relèvent pas des services de la présidence de la république, l’enseignement public, la santé publique, les travaux publics, la sécurité publique, la justice, etc.Au point que la fonction de Directeur de cabinet et proche collaborateur du président de la république avec bureau en ce lieu sous haute sécurité qu’est le Palais prsidentiel, serait pour beaucoup dans le mystère, la fascination et les préjugés sur la personne de Maixent Accrombessi Nkani.
Le personnage en serait finalement et à tort, mal connu, mal dépeint et peut être même mal aimé des gabonais.
En effet, contrairement aux caricatures et autres grossissements qui sont entretenus sur Accrombessi, plusieurs témoignages convergents de personnes qui le côtoient parlent plutôt d’un homme de l’hombre du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, qui agit de façon très discrète sur instructions du président pour aider les gabonais en difficultés, notamment, les organisations non gouvernementales (ONG), les associations et les familles démunies.
Au point d’ainsi privilégier au grand bonheur des compatriotes, la fonction sociale de la présidence de la république concurremment à sa fonction éminemment politique qu’on peut aisément imaginer.
Toutes choses qui révèlent finalement un Accrombessi plutôt foncièrement généreux et portent un cinglant démenti à tous ceux qui le dépeignent comme étant arrogant. Pour preuve, le fait qu’il ne se vautre pas en procès en diffamation ou calomnie contre ses détracteurs est un montre de sa tolérance et sa magnanimité.
Pour les plus butés, ses prétendues origines béninoises suffiraient à ne plus regarder ses capacités, valeurs intrinsèques et son savoir faire au service du chef de l’Etat.
Ce qui serait de la malhonnêteté intellectuelle en plus d’être un outrageant mépris de la loi gabonaise, qui reconnait la nationalité gabonaise à ceux qui l’acquièrent ou à ceux dont l’un des parents est d’origine étrangère.
Il en est ainsi de plusieurs gabonais au nom évocateurs de patronymes d’origines étrangères tels que Diop, Oliveira, Sene, Ping, Tchen, etc, qui sont des dignitaires gabonais qui ont servi et servent encore notre pays le Gabon.
D’où que l’abondante bile versée sur les origines d’Accombressi ne procéderait en réalité que du prétexte, du mobile politicien et de la malice de ceux là même qui voudraient être à sa place.
