An 25 de l’UPG: Casimir Oyé Mba soutient le camp des légalistes? #aLibreville

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An 25 de l’UPG: Casimir Oyé Mba soutient le camp des légalistes?

Publié le vendredi 18 juillet 2014 | Gaboneco

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Casimir Oyé Mba, ancien Premier ministre d’Omar Bongo et ancien gouverneur de la Banque des États d’Afrique central (BEAC)

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Activités des partis politiques

Alors que ses compagnons de l'Ex Union nationale (Un) se retrouvaient à la Chambre de commerce, Casimir Oyé Mba, par ailleurs membre du Front d'égalité républicaine (Fer) de Bonaventure Nzigou Manfoumbi, a pris part lundi 14 juillet 2014, aux activités marquant le 25e anniversaire de l'Union du peuple gabonais (Upg) sis à son siège d'Awendjé.

Casimir Oyé Mba a t-il été mandaté par ses pairs de l'Ex Union nationale (Un) pour, prendre part aux activités qui ont marqué lundi dernier le 25e anniversaire de l'Union du peuple gabonais (Upg)?

La question mérite d'être posée d'autant que ses compagnons, Jean Ping, Jacques Adiahenot, Moussavou King, Pierre Amoughé Mba etc... étaient curieusement présents à la cérémonie organisée le même jour par la tendance dite "des loyalistes" à la Chambre de commerce.

La présence de Casimir Oyé Mba qui n'est pas passée inaperçue, soulève de nombreuses interrogations car, depuis son volte-face à la présidentielle de 2009, l'ancien Premier ministre et ministre des Finances sous l'ère Omar Bongo Ondimba, est un homme insaisissable selon les observateurs de la vie politique gabonaise.

Selon plusieurs d'entre eux, la présence de monsieur Oyé Mba aux assises d'Awendjé est avant tout la preuve que l'Upg version Mathieu Mboumba Nziengui et Bruno Ben Moubamba reste la plus crédible.

Et que celle dirigée par les Loyalistes avec comme président, Jean de Dieu Mouckagni Iwangou est une anti chambre de la Majorité Républicaine et Sociale pour l'Emergence.

D'autant qu'un procès serait en cours et devrait opposer très prochainement les dissidents de l'Upg à leurs anciens compagnons qui se prévalent d’être les seuls à pouvoir parler au nom de ce parti en perte de vitesse sur l'échiquier politique national.

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