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Aviation civile : une liste des aéronefs opérant au Gabon transmise à la CNLCEI par l’ANAC
Publié le mardi 16 janvier 2024  |  Agence Gabonaise de Presse
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© Autre presse par DR
ANAC : les avions étrangers désormais soumis à des contrôles stricts
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Le directeur général de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC), le Général Eric Tristan Franck Moussavou, a remis ce lundi 15 janvier au président de la Commission nationale de lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite (CNLCEI), Nestor Mbou, la liste des aéronefs navigants en territoire gabonais.

Les échanges qui se sont déroulés au cours d’une séance de travail entre le président de la Commission nationale de lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite (CNLCEI), Nestor Mbou et le directeur général de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC), le Général de Brigade Eric Tristan Franck Moussavou, ont porté sur les missions de la commission et son champ de compétence. Mais surtout, sur certaines informations relatives à l’écosystème de navigation aérienne au Gabon.

Il s’agit des informations de premier ordre, à même de permettre à la CNLCEI de connaître les propriétaires des aéronefs navigants dans le ciel gabonais et de comprendre leurs modalités d’acquisition et d’exploitation.

L’utilisation du ciel gabonais, requiert que l’aéronef soit immatriculé localement, mais aussi que sa provenance et son état de fonctionnement soient connus. De même que son propriétaire, sa forme juridique et son type de licence (commerciale ou privée), a-t-on appris lors de cette rencontre.

Lors de son audition, le Général de Brigade, Eric Tristan Franck Moussavou a déploré la faible participation des nationaux dans le marché aérien. Indiquant à l’occasion, la volonté des nouvelles autorités du pays, pour la préférence nationale. Il a cet effet, fait état de l’étude en cours, de réformes souples devant amener les promoteurs gabonais à franchir le pas.

En l’état actuel de son dispositif juridique, la création d’une entreprise de navigation aérienne requiert un capital de 400 millions de francs CFA. ¼ de ce capital est exigé pour lancer le processus de délivrance du certificat de transport aérien, et la licence d’exploitation.
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