Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Présidentielle 2023 : «C’est le moment où jamais. Nous devons gérer le pays autrement !» Albert Ondo Ossa
Publié le samedi 19 aout 2023  |  Gabon Review
Albert
© Gabon Review par DR
Albert Ondo Ossa lors de sa conférence de presse, le 14 mai 2021 à Libreville
Comment


À l’issue de sa désignation par les membres de la plateforme Alternance 2023, le candidat à la présidentielle du 26 août 2023, Albert Ondo Ossa a invité le peuple gabonais à se mobiliser partout où il se trouve et à rendre effectif le rêve du changement au sommet de l’État. L’Objectif étant d’offrir au Gabon l’opportunité de se redresser par le biais d’une nouvelle gestion.

Ému par sa désignation par ses pairs en tant que candidat consensuel de la plateforme Alternance 2023 à l’élection du président de la République, à l’occasion de sa première prise de parole, le Pr Albert Ondo Ossa a appelé le peuple gabonais à la mobilisation en vue de sa victoire par les moyens constitutionnels au soir du 26 août prochain.

«Gabonaise, Gabonais, vous avez souhaité qu’il y ait un candidat consensuel, c’est votre souhait. Vous avez devant vous le candidat consensuel, il vous appartient désormais de vous mobiliser dans les campagnes, dans les villages, dans les villes pour que ce candidat devienne effectivement le prochain président de la République, le 4e de la République gabonaise», a-t-il lancé, assurant lutter avec les moyens que lui offre la Constitution.

Présenté comme le meilleur profil pour porter haut et loin les espoirs des membres de la plateforme Alternance 2023 et leurs chapelles respectives, le Pr Albert Ondo Ossa estime que c’est le moment ou jamais de gérer le Gabon autrement et de faire valoir les compétences. «Les Gabonais ont payé de leur sang. C’est le moment ou jamais, nous devons gérer le pays autrement. Faire valoir les compétences. Je lance un appel à tous ceux qui ont souffert de ce système : militaires gradés assis à la maison, aux retraités, aux handicapés, aux veuves, aux orphelins, à tous ceux qui sont brimés par la société, l’heure est venue de mettre les ressources du pays au service des Gabonais», a-t-il invité, soulignant que lorsque les Bongos ont pris le pouvoir, il n’y a pas eu de morts, pourquoi faut-il qu’au moment où ils doivent partir du pouvoir après plus de 50 ans, qu’ils y aient des morts ? «Nous devons avoir des élections libres et transparentes, sans morts».
Commentaires


Comment