Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Conflits post-électoraux au Gabon : Il faut en finir
Publié le jeudi 6 octobre 2022  |  InfosGabon
Faustin
© Autre presse par DR
Faustin Boukoubi , président de l’Assemblée nationale
Comment


Libreville – Le président de l’Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, a invité hier en ouverture de la session ordinaire 2022-2023 ses collègues députés à être des apôtres de la paix auprès de leurs populations respectives.

En ouvrant ce mardi 4 octobre 2022 les travaux de la session ordinaire 2022-2023, le président de l’Assemblée nationale a invité les membres de l’auguste institution qu’il dirige à devenir des ambassadeurs de la paix auprès de leurs populations. L’appel lancé par Faustin Boukoubi vise à mettre le Gabon à l’abri des conflits posts-électoraux en prélude aux élections générales que le pays organisera en 2023. « Notre rôle de représentants de la nation nous commande davantage de par le passé, d’agir résolument en ambassadeur pour la paix en vue de contribuer à l’aboutissement des lendemains post – électoraux apaisés grâce à notre proximité avec les électeurs », a souligné l’orateur. Selon lui, il faut « sensibiliser nos compatriotes à agir en faveur de la préservation de la paix au lendemain des élections ».

Cette exhortation de M. Boukoubi vise à tourner définitivement le dos aux violences qui, par le passé, ont souvent éclaté lors des élections. « Chers collègues, nous avons intérêt à œuvrer de plus en plus à la consolidation de l’unité nationale en synergie avec tous les responsables, à tous les niveaux des institutionnels, à la localité locale et au chef de famille. Nul doute que, conscient de ses missions régaliennes le gouvernement de son côté sous l’autorité du chef de l’État ne ménage aucun effort pour atteindre certains objectifs », a-t-il lancé.

Rappelons que Faustin Boukoubi qui prêche la paix n’a pas tort. Etant donné que le siège de son institution était le théâtre des événements malheureux de 2016. Incendié par des manifestants qui contestaient les résultats de l’élection présidentielle, le siège de l’Assemblée nationale est resté hors service pendant deux ans pour des travaux de refection et de rehabilitation.
Commentaires

Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux


Comment

Comment