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Législatives partielles 2022 : "Gabon d’abord" dénonce "l’illégalité" du Bureau du CGE
Publié le mercredi 21 septembre 2022  |  L'Union
Jacques
© Autre presse par DR
Jacques Adiahenot, Président de la plateforme citoyenne et patriotique "Gabon d`abord"
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À quelques semaines du 1er tour des élections législatives partielles (elles se tiendront le 15 octobre prochain) dans le 1er siège du département de l'Ogoulou (Mimongo), le 2e siège de la Zadié dans l'Ogooué-Ivindo et le 1er arrondissement de la commune de Tchibanga, l'intérêt des scrutins à venir est de plus en plus observable. En témoigne la sortie effectuée hier par le président de la plateforme citoyenne et patriotique "Gabon d'abord", Jacques Adiahenot. En présence de quelques acteurs politiques et représentants de la société civile, l'orateur du jour s'est largement appesanti sur la situation du Centre gabonais des élections (CGE).

Occasion pour ce dernier d'indiquer : "Le 1er septembre 2022, le Conseil des ministres a adopté la proposition de chronogramme présentée par le bureau devenu caduc depuis le 2 mai 2022 du CGE pour les législatives partielles…". Avant de soutenir : "Si ledit mandat a été prorogé plus de deux mois après expiration du délai légal, comme l'a fait observer la Cour constitutionnelle elle-même dans son "deuxième considérant" de la décision n° 0025/CC du 15 juin 2020, on peut affirmer que cela constitue un renouvellement implicitement accordé à ce bureau du CGE sortant qui n'est dorénavant ni légal ni légitime".

Pour l'ancien secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), "l'illégalité et l'illégitimité" dudit bureau sont exacerbées par les quatre décrets présidentiels inhérents à la levée des restrictions de la Covid-19, pris le 11 mars 2022. "Gabon d'abord" a le regret de constater, une fois de plus, que cinq mois après le terme légal de son deuxième mandat implicite, le bureau du CGE caduc demeure en place", a lâché sans détour le conférencier. D'après ce dernier : "(...) Le bureau caduc du CGE ne devrait pas organiser le 15 octobre prochain, en marge de toute légalité et légitimité les élections législatives partielles".
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