Alors qu’elles tentaient d’opérer dans l’appartement d’un enseignant de nationalité britannique à Libreville, deux femmes, Judith M. et Géola K., vraisemblablement âgées d’une trentaine d’années, ont été prises en flagrant délit de cambriolage. Équipée de trois trousseaux de clés passe-partout, l’une d’elles avoue ne pas être à son premier coup.
Fin de parcours pour deux présumées cambrioleuses le week-end dernier à Libreville. Vraisemblablement âgées d’une trentaine d’années, deux amies se sont fait prendre la main dans le sac alors qu’elles tentaient d’opérer dans un appartement loué par un enseignant d’origine britannique dans le 3e étage d’un immeuble de la capitale gabonaise. Elles ont aussitôt été conduites dans la brigade de gendarmerie la plus proche avant de se voir délivrer leur ticket d’entrée à la nouvelle maison d’arrêt pour femme de Libreville où elles attendent leur jugement.
Interpellée sur les lieux, l’une d’elles nie pourtant toute implication dans cette affaire et n’hésite pas à charger sa complice présumée. «Elle m’a juste demandé de l’accompagner, je ne savais pas ce qu’elle allait faire là-bas», assure Géola K.
Présentée comme le cerveau du duo, Judith M. quant à elle n’a pas eu beaucoup de mal à reconnaître sa culpabilité, y compris devant la presse. «On m’a attrapée parce que je suis allé faire une tentative de vol avec des clés (passe-partout) que j’avais ramenées du Bénin», a-t-elle avoué, précisant que c’est la première fois qu’elle a tenté d’opérer dans la zone. Elle ne serait donc pas à son premier coup. Néanmoins, elle dit regretter son geste. «Je ne sais pas ce qu’il s’est passé ni ce qui m’a poussée à le faire», a-t-elle tenté d’expliquer.
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