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Gabon : Le RPM exige la libération immédiate et sans condition de Jean Rémy Yama
Publié le samedi 5 mars 2022  |  Gabon Review
Faustin
© Autre presse par DR
Faustin Laurent Bilie Bi Essone, Secrétaire exécutif du Rassemblement pour la Patrie et la modernité (RPM)
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Le Conseil exécutif du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) a protesté le 3 mars contre l’arrestation du président de Dynamique unitaire, Jean Rémy Yama. Le RPM s’étonne que le président du Syndicat national des enseignants et chercheurs (Snec) soit de nouveau poursuivi pour les mêmes faits, dans une affaire déjà classée sans suite par le même tribunal. Il exige la libération immédiate de ce dernier.

Le président de la confédération syndicale Dynamique unitaire, Jean Rémy Yama, et président du Syndicat national des enseignants et chercheurs (Snec), a reçu le soutien des membres du Conseil exécutif du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM). Cette sortie du RPM fait suite à son incarcération pour escroquerie et abus de confiance, dans le cadre de l’affaire SCI Serpentin qui l’oppose à certains de ses collègues enseignants du supérieur.

Le RPM s’est insurgé contre les privations de liberté dont il est l’objet alors que la détention, selon les termes de la loi, constitue une option à l’égard d’un prévenu qui n’offre pas de garantie de se présenter devant la justice.

«Le RPM constate que Jean Rémy Yama fait régulièrement l’objet de harcèlements, d’arrestations et de détentions arbitraires, dans le but inavoué d’entraver son action syndicale. Cette pratique, de plus en plus récurrente, est de nature à créer un climat de terreur qui porte atteinte à la paix sociale dans notre pays», a déclaré le secrétaire exécutif, Faustin Laurent Bilie Bi Essone, exigeant au nom du RPM la libération immédiate et sans condition de Jean Rémy Yama, « dont la place se trouve auprès de ses médecins traitants que dans une sinistre cellule de la prison centrale de Libreville».

Dès lors, le RPM tient pour responsable le pouvoir en place, en cas d’aggravation de l’état de santé de l’intéressé qui se rendait à Dakar pour y subir des soins médicaux, lors de son interpellation.
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